Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez
 

 Ireland ~ You only need the light when it's burning low, Only miss the sun when it starts to snow

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ireland R. Grey
Ireland R. Grey
•• Messages : 568
•• Points : 4514

Ireland ~ You only need the light when it's burning low, Only miss the sun when it starts to snow Empty
MessageSujet: Ireland ~ You only need the light when it's burning low, Only miss the sun when it starts to snow   Ireland ~ You only need the light when it's burning low, Only miss the sun when it starts to snow EmptyVen 21 Mar - 15:41



Ireland R. Grey

nom • Grey prénom • Ireland Raven âge • 21 ans sexe • une fille ! qualités • créative, drôle, intelligente, indépendante, calme, travailleuse, loyale défauts • solitaire, impulsive, teigne, moqueuse, , peut se révéler traître, parfois "méchante", son intérêt avant tout


▲▲ ÉVOLUTION DE VOTRE PERSONNAGE
→ Caractère quand vous étiez sur l'Ark Ireland a toujours été vu comme la bonne copine de part ses camarades. Elle est celle qui est fiable, celle sur qui ont peut compter. Les secrets sont en général bien garder avec elle. C’est une jeune femme  loin d’être parfaite et elle s’en vante. Il s’agit là d’une chose qu’elle considère comme ennuyeuse, alors vous l’aurez bien évidemment compris elle a autant de qualités que de défauts ou presque. Elle peut autant être maladroite qu’espiègle. Certains devraient éviter de lui tendre des perches des fois, ils risquent de ne pas s’attendre à ce qui leur reviendra dans la figure. La plupart du temps elle affiche un sourire souriant et aime bien rire et s’amuser avec ses amis afin de se changer les idées  et puis… la vie est si courte et elle le sait. Adorant son père aujourd’hui décédé, elle aime qu’on lui fasse remarquer que leurs caractères sont semblables. C’est une chose dont elle en est fière. D’un autre côté ce n’est pas non plus une personne qui aime être toujours avec les autres –surtout si elle devient le centre d’intérêt du groupe- il lui faut ses moments de solitudes. Elle est assez créative et des fois, elle peut se mettre à raconter une histoire ou une phrase dont l’ensemble n’a aucun sens. Au final, ce seront des répliques sans queue ni tête, balancées à vau l’eau. C’est une manière chez Irlande de s’amuser ou de décompresser. Teigne, est un mot qui est déjà souvent parvenu à ses oreilles. Eh oui ! Il lui arrive de l’être comme il lui arrive d’être naïve et des fois vaut mieux ne pas être avec elle quand elle de mauvaise humeur.

→ Y a-t-il eu une évolution quand vous êtes arrivé sur terre ? Pour être honnête ça date d’avant l’Ark puisque c’est lors de son emprisonnement qu’elle a fini par devenir peu à peu ainsi. « L’ancienne » Ireland n’est pas morte, même si c’est ce que la majorité pensent et la concernée la première. Elle est juste enfouie et attend sans doute que quelqu’un vienne la réveiller. Aujourd’hui, c’est une personne avec moins de scrupules, plus renfermée que jamais qui a atteint un degré de solitude élevé. Elle est tellement solitaire et asociale qu’elle a du mal à rester avec les autres. De nos jours, c'est plutôt quelqu’un d'individualiste, mais elle est loin d’être bête. Alors, même si elle estime qu’elle n’a plus rien à perdre, elle essaie de faire des efforts en participant autant que possible aux taches et autres de la vie en communauté. En retour elle demande juste à ce qu’on lui fiche la paix et à ce qu’on ne vienne pas l’embêter quand elle s’isole du groupe. Faut pas non plus abuser de sa patience, elle n’a aucune envie de se lier d’amitié. Tant que ça l’arrange elle aussi, elle reste une personne fiable en qui on peut compter mais, si l’accord passé ne lui apporte plus rien alors elle s’en ira sans regret. Mais bon, en ce moment l’intérêt c’est qu’on doit survivre et que pour ça il faut s’entraider dans ces terres inconnues. Alors certes, elle n’aime pas se lier mais elle ne va pas non plus tuer tout le monde. Car, oui n’oublions pas que même si elle a tué un homme, son instinct n’est pas celui d’une meurtrière. D’un autre côté, si  elle devait se défendre, elle ferait ce qu’il devrait être fait. En plus de cela…c’est aussi une personne qui arrive à avoir ses moments de gentillesses même si elle ne les montre pas. Et surtout ne vous avisez pas de le lui faire remarquer. Elle aime qu’on sache qu’elle est plutôt du genre « je cogne d’abord et après je cause ».La brunette affiche souvent un air indifférent et n'aime pas qu'on la force à s'intéresser aux choses. Dans ces cas là, elle se montrera très probablement sarcastique pour bien vous faire comprendre que vous l'emmerdez. Retenez aussi que vos petites mésaventures...elle s'en moque. Elle ne vient pas vous raconter sa vie alors faites-en de même et épargnez ses oreilles de vos jérémiades. Retenez également qu'elle n'est pas sans compassion mais que ce trait là de caractère est si enfouit en elle qu'elle ne le montre pas et déteste toute démonstration d'affection. N'essayez même pas de la prendre dans vos bras.

→ Objets que vous avez :
- une bague de grande valeur qui était dans la famille de son père depuis des générations et qu'il avait fait graver lorsqu'il s'était marié avec Isobel, car oui, c'était la bague de fiançaille/mariage de sa mère.
- une photo d'elle et ses parents qu'elle garde cachée sur elle.





Mon histoire
" This is a fight for love, lust, hate, desire
We are the children of the great empire "



Ireland était une enfant désirée que sa grand-mère vit naître dans un milieu bien différent du sien. Sans doute aurait-elle aimé que sa petite-fille connaisse un jour le monde qu’elle avait connu, elle-même.  Pas dans l’état dans lequel elle et ses semblables l’avait laissé… mais comme il était autrefois. Cependant, elle ne pourra jamais en parler à ce petit bout de chou qui venait de voir le jour. En effet, elle céda à la visite de la mort trois mois plus tard. Par conséquent, Ireland ne la regrettera jamais et n’entendra parler de cette terre en nul autre qu’un ton neutre bien connu des enseignants ressassant un simple fait historique.

Et ça continue avec le coup classique des contes de fées. L’enfant fut chérie et tant aimée de ses parents. Après tout, ils n’avaient droit qu’à un enfant. Une famille de trois personnes et pas une de plus était la norme en vigueur. Qu’importe, elle leur suffisait.  La situation familiale était tout de même un peu compliquée, malheureusement. En effet, un petit conflit familial. Le grand-père maternel de Irlande n’avait jamais été pour ce mariage. Bien qu’il soit ingénieur,  Aidan Grey n’avait jamais eut les faveurs de son beau-père qui avait préféré un autre de meilleure réputation et beaucoup plus …connu dirons-nous. Cependant,  Isobel était loin de porter attention à cela. Elle aimait bien trop Aidan pour que l’avis de son père compte dans la balance et puis il lui avait appris à être heureuse en plus de lui avoir permis de donner vie à sa petite merveille.  Néanmoins, il finit par arriver ce à quoi personne ne s’attend jamais surtout lorsque cette personne est encore comme de ceux qu’on considère de jeunes. Aidan trouva la mort sans que personne ne puisse y faire quoique ce soit. Il était seul à la maison avec Ireland et tout d’un coup une subite douleur le pris à la tête. L’enfant étant dans une autre pièce en train de jouer ne vit pas son père s’écrouler. La petite fille de dix ans avait tout de même fini par aller retrouver son papa. Elle secoua, pensant qu’il refaisait une mauvaise blague pour la taquiner mais, malgré tout ses secouements il ne bougeait pas. Elle resta auprès de lui, attendant qu’il se réveille en disant « je t’ai bien eue ». Une sorte de déni c'était installé. Rien ne se passa. Ce fut quand Isobel rentra que la petite fille demanda à sa mère pourquoi son papa n’arrêtait pas de vouloir lui faire peur. Enfin bref. Vous imaginez facilement la suite. Le corps fut emporté et il fut déclaré qu’il s’agissait d’une attaque cérébrale.

Au début, elles restèrent toutes les deux mais, bien assez vite le père d’Isobel se manifesta de nouveau. Il regrettait sans doute de s’être opposé si fortement à cette union en voyant les ravages qu’avait engendré la perte d’Aidan sur sa fille unique. Ils veillèrent les uns sur les autres. Cependant, sa mère avait le droit au bonheur et il était sans doute normal qu’elle se remette avec un autre homme. Ireland le prit mal. Elle n’aimait pas l’idée que quelqu’un prenne la place de son père. La petite brune aimait quand même voir sa mère heureuse et finit par se dire que si un homme arrivait à faire sourire sa mère alors il ne pouvait pas être si vil. Et dire qu’elle était loin du compte.  Ah oui ! Dernière précision. Le grand-père en fut ravi pour une fois. Si je vous dis que cet homme était celui qu’il avait souhaité voir sa fille épouser… Me répondrez-vous coïncidence ?

Au début tout se passa bien. Ils étaient heureux. Du moins, c’est ce qu’il paraissait. Ireland n’éprouvait aucune affection pour lui. Il y avait quelque chose chez cette personne qui la dérangeait. C’était le coup classique me direz-vous, mais elle ne savait pas ce qui la perturbait tant chez lui. Chose qu’elle découvrit plus tôt que prévu, mais quand même trop tard à ses yeux. Il avait débarqué dans sa vie quand elle avait quatorze ans. Un an et demi plus tard, il épousait sa mère et six mois encore après il la battait pour la première fois. Et dire qu’il avait fallu un ans pour qu’elle s’en aperçoive. La brunette tenta d’en parler avec sa mère mais, cette dernière fit mine de rien.  Elle lui dit qu’elle se faisait bien trop de fausses idées. Ireland n’avala pas le bobard. Maintenant qu’elle l'avait découvert, tout devenait plus clair. Elle l’entendait pleurer, les entendait quand ils se disputaient et ainsi de suite.

Toutes sortes d’émotions la submergeait. La tristesse, la colère, la rancœur…mais surtout la haine.  Oui ! De la haine contre elle pour ne rien faire face à ça et de ne pas s’en être rendu compte plus tôt. De la haine contre sa mère de garder le silence sur cela et de n’en avoir pas discuté avec elle, lorsqu'elle avait évoqué la chose. Mais plus que tout : de la haine contre ce salopard qui battait sa mère et la faisait souffrir. Bien entendu, elle n’était pas du genre à partager ses soucis personnels –du moins pas quand ils étaient aussi graves- et faisait comme de rien n’était devant ses amis et ses camarades. Cela n’empêchait pas qu’elle savait que ça ne durerait pas. Elle ne le permettrait pas. Ireland voulait se donner le courage d’intervenir et de virer cet homme de chez elles. Qu’il disparaisse de leurs vies. Cela ne fut pas tout de suite mais le moment approcha à grand pas. Nul ne pensait que ce qui allait arriver, arriverait un jour.

Cette nuit là comme les autres elle entendit tout. Prenant une grande inspiration, elle bondit de son lit et les yeux exprimant sa rage alla jusqu’à eux pour se placer entre l’homme et sa victime. « Arrête », lui avait-elle sommé. Un rire débile au nez empestant l’alcool, c’est tout ce à quoi elle eut droit. Quand il se retourna elle pensait avoir réussi et s’était donc retournée vers sa mère pour l’aider mais, ça avait été être trop naïf de sa part. Tout d’un coup elle était par terre et une douleur la lançait dans le dos. Sa mère hurlait. Alors ce fut sur elle qu’il s’excita de nouveau. Ireland refusant de la laisser ainsi et surtout de rester par terre, se releva et se jeta sur lui. Quelle idée stupide. C’était une mouche comparée à lui. Elle n’avait que 17 ans et demi. Qu’espérait-elle ? Il la repoussa comme un chiffon c’était le cas de le dire. Les larmes coulaient sur ses joues depuis un bon moment, tandis qu’Isobel se faisait battre par son époux. De plus l’intervention de Ireland semblait l’avoir rendu juste plus furieux encore. Ne sachant plus quoi faire, elle se précipita à la cuisine prit un couteau de grande taille servant à couper la viande rouge et se précipita de nouveau auprès d’eux. « LACHE-LA ! OU JE TE TUE! JE TE JURE QUE JE TE TUE ! » Un regard mélangeant pitié, amusement et cruauté se posa sur elle pour aussitôt se reporter sur la pauvre femme à ses pieds qui pleurait repliée sur elle-même. Alors qu’il allait abattre un énième coup, elle se précipita sur lui et enfonça le couteau. Il était clair comme de l’eau roche, qu’il ne l’en avait pas cru capable… Et bien il s’était trompé. A ce moment-là, elle n’avait plus pensé à rien. Comme si sa tête avait été vide tout d’un coup. Vide de tout sens. Vide d’une quelconque morale. Son corps avait été comme possédé. Dire combien de temps s’écoula entre sa « reprise de conscience » et la mort de l’être abjecte était impossible à dire. La seule chose qu’elle avait vu c’était que, pendant qu’elle se glissait au sol, après avoir poignardé deux fois son beau-père, elle et sa mère avaient regardé le sang couler, ébahies, par ce qui se passait sous leurs yeux. Comme si rien de cette scène n’était réel.

Isobel ne cria pas. Elle savait ce qui se passerait si jamais elle appelait qui que ce soit. Alors, malgré la douleur, elle fit en sorte d’arriver jusqu’à sa fille pour la prendre dans ses bras. Elle tremblait et se sentait faible. Sa fille aussi tremblait contre elle. La frayeur était encore là. C’est ainsi qu’elles restèrent. Là ! Immobiles ! à regarder l’homme responsable de tout ça se vider de son sang. La scène macabre fut découverte par un ami du macchabé qui venait lui rendre visite. Elle fit appel aux forces de l’ordre pestiférant et hurlant que deux folles avaient tuées son ami. Pour la suite nous allons essayer de la faire courte. Isobel tenta de se dénoncer afin de protéger sa fille, mais pour Ireland il était inconcevable que sa mère paie pour elle et souffre encore. Alors elle raconta tout. Les preuves abondèrent dans son sens et heureusement.

Les règles étant les règles elle se retrouva emprisonnée et condamnée pour meurtre. Elle était quelqu’un qu’on pouvait décrire comme sage. Certains pensaient même qu’elle avait perdu goût à la vie et ne se nourrissant plus que par mécanisme.  Pas vraiment en réalité. Du moins, pas au début. En effet, quitte à être enfermée à vie, autant se faire à l’idée. Oui, elle était résignée et son seul soulagement était qu’elle espérait que sa mère avait une chance de récupérer et recommencer malgré les blessures qu’elle avait subi. Malheureusement, un an plus tard, on lui annonça tout le contraire. Sa mère était décédée. Les coups à répétition avaient fini par laisser des marques. Des blessures internes en plus de blessures psychologiques que l'enfermement de sa fille n'avait fait qu'empirer. Il semblait qu’elle était rongée par la culpabilité. Enfin bref, elle vivait mal tout cela. Elle ne se nourrissait plus, ne prenait plus ses traitements… elle se laissa mourir. Ireland se rappellera toute sa vie de quand on le lui a annoncé. Le garde y avait mis une pointe de dédain. Faut dire qu’elle n’était pas appréciée et que peu avaient cru la version de la violence conjugale. Son beau-père avait été quelqu’un de connu et apprécié publiquement parlant. Qu’importe ! Retenons qu’elle n’avait pas aimé les mots dont l’homme étant venu lui remettre la lettre annonçant le décès de sa mère , pour parler de cette dernière. Résultat : elle hurla de rage et se précipita à une telle vitesse sur la personne qu’elle réussit à l’attraper par le cou avant qu’il ne s’écarte. Folle de rage elle le tapait encore et encore contre les barrières. Après elle se souvint juste avoir été électrocutée et s’être retrouvée par terre. Besoin de préciser qu’elle avait eut droit à une camisole de force car devenue incontrôlable ? Maintenant elle se retrouvait seule. Seule avec ses souvenirs d’une vie parfaite qu’elle avait eut petite. Aujourd’hui, c’était comme si sa vie était dénuée de sens, qu’elle avait perdue tout ce qui avait compté le plus : sa famille. Qu’importe ! C’était trop douloureux et pour surmonter cela il suffisait de l’enfermer à double tour. Elle aimait sa solitude. Elle restait indifférente à tout. Comme si joie et colère l’avaient quittée. Plus le temps passé dans sa cellule et moins de choses trouvaient grâce à ses yeux. Elle était seule et ne pouvait compter que sur elle-même.

En gros je pense qu’il n’y a plus grand-chose à rajouter. Si ce n’est qu’elle fut envoyée avec d’autres « délinquants » sur terre afin de voir si elle était redevenue vivable. Après avoir été la meurtrière, elle serait le rat de laboratoire…super !


icons by livejournal(s)


pseudo • azkadélia âge • 22 ans avatar • Nina Dobrev groupe •  High Level postes vacants, scénario ou invention ? • PURE INVENTION ♥ un commentaire ? • design, contexte, etc sublimes *-*
Revenir en haut Aller en bas
 

Ireland ~ You only need the light when it's burning low, Only miss the sun when it starts to snow

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The 100 :: Incipit :: ▲ L'heure des présentations-