«On avait cru dans un premier temps que ça ne se contenait qu’aux États-Unis. Et puis un jour, sans savoir comment, c’était arrivé en Europe. Pire que la peste, pire que les sauterelles, cette plaie là se répandit si vite qu’on eu tout juste le temps de réagir. De comprendre que ce qui avait décimé la première puissance mondiale nous avait touché nous aussi. Comment cette chose arriva sur notre grande île ? Nul ne le sait. On avait fermé nos frontières pourtant. Les avions avaient cessé de voler et les bateaux restaient à quai. Et pourtant, un matin ils étaient là. Dans nos forêts, dans nos cités. Ces morts qui marchent. Chose des plus logiques la panique nous envahit. On chercha refuge. Mais où voulez-vous donc vous cacher quand on est entouré que d’eau et que le fléau est au cœur de nos terres ? Comment voulez vous vous en sortir quand 60 millions de personnes se retrouvent coincées et qu’un à un nous tombons pour pouvoir nous relever. Morts. Et avides de chair.


J’aurais envie de vous dire Bienvenue en Grande Bretagne. Mais je vous demanderai plutôt : Survivrez-vous au Purgatoire ?»

La suite du contexte